Le coin de la rue Ernest André et de la rue du Maréchal Foch offre au passant un spectacle indigne d’une ville comme la nôtre.
Nous avons cherché à en savoir plus.
Selon nos informations, le projet a démarré en 2003, le propriétaire de la parcelle ayant décidé de bâtir un immeuble à usage d’habitation au-dessus de la poissonnerie.
Problème : les murs ne sont pas porteurs et la construction de l’ensemble doit reposer sur des piliers en béton traversant le commerce de Madame François Bacquet, propriétaire du fonds.
La construction, démarrée en 2005, a buté dès l’année suivante sur cette question. Les murs en parpaing s’élèvent depuis tristement dans le vide, au grand dam des voisins et des Vésigondins.
Depuis, le propriétaire des murs qui veut construire et la propriétaire du fonds qui veut garder son commerce sont dos à dos, la Mairie ne souhaitant pas intervenir dans ce qu’elle considère comme une affaire privée.
Pourtant, tout espoir n’est pas perdu puisque le permis de construire… tombe en novembre 2013.
ropriétaire, architecte et service de l’urbanisme ne pourraient-ils pas revoir leur copie et, par exemple, envisager un toit-terrasse paysager avec l’ouverture d’un deuxième commerce à côté de la poissonnerie ?